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Publié le 15 août 2023
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Le Code de recommandations pour le bien-être des chèvres, élaboré en vertu de l'article 3 (1) de la loi sur l'agriculture (dispositions diverses) de 1968 et approuvé par le Parlement, vise à encourager tous les responsables de la garde de ces animaux à adopter les normes les plus élevées. de l'élevage. Il prend en compte 5 besoins fondamentaux des animaux :
Le Code est soutenu par la loi du pays. Causer une douleur inutile ou une détresse inutile à un animal de ferme constitue une infraction en vertu de la loi sur l'agriculture (dispositions diverses) de 1968 : la violation d'une disposition du code, bien que n'étant pas une infraction en soi, peut néanmoins être utilisée comme preuve pour tendre à établir la culpabilité. de toute personne accusée d’avoir causé des souffrances en vertu de la loi (article 3(4)).
Sans une bonne gestion des animaux, le bien-être des animaux ne pourra jamais être protégé de manière adéquate. Le Code est conçu pour aider les éleveurs, en particulier les jeunes et inexpérimentés, à atteindre les normes requises.
Le Code est entré en vigueur le 1er septembre 1989.
Aux fins du présent Code, le mot « chèvre » désigne tout cheptel caprin et tout animal âgé de 6 mois est considéré comme un chevreau.
1. Les chèvres de Grande-Bretagne couvrent une variété de types de races, chacune ayant ses propres caractéristiques. Les recommandations de ce Code sont adaptées aux chèvres dans divers systèmes d'élevage et leur application contribuera à garantir que le bien-être du cheptel est sauvegardé.
2. La chèvre a une tendance naturelle à brouter et à se nourrir pour se nourrir et ces facteurs doivent être pris en compte lors du choix d'un environnement approprié. De nombreuses races de chèvres nécessitent plus de protection contre les intempéries que les bovins ou les moutons et, quel que soit le système d'élevage adopté, une forme d'abri doit être fournie.
3. Les chèvres, étant des animaux grégaires, préfèrent vivre en groupes sociaux et semblent apprécier le contact humain. S'ils sont gardés seuls, ils nécessitent des contacts et une supervision plus fréquents avec l'éleveur. Ils doivent toujours être traités individuellement, même lorsqu’ils sont élevés en grands troupeaux. Lors de la formation de nouveaux groupes, il convient de veiller à éviter les bagarres et le stress si des animaux adultes sont mélangés (voir paragraphe 30). Les chèvres préfèrent être conduites mais peuvent être conduites si des précautions sont prises.
4. Le nombre et le type de chèvres élevées ainsi que le taux de chargement doivent dépendre de l'adéquation de l'environnement et des compétences de l'éleveur.
5. Bien que de très grands troupeaux puissent être gérés avec succès, en général, plus la taille de l'unité est grande, plus le degré de compétence et de conscience nécessaire pour garantir le bien-être est élevé. La taille d'une unité ne doit pas être augmentée et une grande unité ne doit pas être créée à moins qu'il ne soit raisonnablement certain que l'éleveur responsable sera en mesure de garantir le bien-être de l'animal individuel.
6. L'éleveur doit connaître le comportement normal des chèvres et reconnaître les signes indiquant une bonne santé. Ceux-ci incluent un bon appétit, une vigilance, un bon état du pelage, l'absence de boiterie, des crottes rondes et fermes (semblables à celles d'un mouton ou d'un lapin) et l'absence de plaies, d'abcès ou de blessures visibles. Le stock acheté doit être sain et exempt de maladies infectieuses.
7. Les chèvres doivent être inspectées régulièrement, en particulier pour vérifier l'état des pieds (voir paragraphe 50) et les infections parasitaires de la peau (par exemple les poux et la gale), auxquelles elles sont sensibles.